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Le doux bruit de la vie(Il dolce rumore della vita)un film de Giuseppe Bertolucci |
Sofia, jeune élève dans une école de théâtre, est amoureuse de son professeur Bruno. Mais elle découvre son homosexualité et s’enfuit, désespérée ; dans le train qui l’emmène chez elle, elle rencontre une fille enceinte qui accouche dans les toilettes et abandonne le nouveau-né. Sofia décide alors de s’occuper du bébé, de l’appeler Bruno et d’attribuer à la mort l’absence du père. Cinq ans après, dans un théâtre, elle rencontre Bruno et lui glisse le doute sur sa paternité. Dix ans plus tard, dans une interview à un malade du sida en phase terminale qui regrette de n'avoir pu aimer son fils, Bruno croit reconnaître son père et réagit violemment. Quand finalement, il rencontre sa véritable mère, s'amorce le psychodrame final qui risque de faire s'écrouler le château vertigineux de mensonges que Sofia a construit au cours des ans.
Fiche technique
Année | 1999 |
Durée | 92' |
Langue | Italien, vost |
Visa | 103870 |
Format | 35mm, Couleur |
Scénario | |
Photographie | Fabio Cianchetti |
Montage | Fabio Cianchetti |
Son | |
Musique | Bevano Est |
Décors | |
Costumes | |
Interprètes | Francesca Neri, Rade Serbedzija, Rosalinda Celentano, Alida Vladi |
Production |
La réalisation, Giuseppe Bertolucci

Né à Parme en 1947, fils du poète Attilio, il débute au cinéma en 1970 comme assistant réalisateur de son frère Bernardo pour "La strategia del ragno". Il collabore aussi avec lui sur les scénarios de "Novecento" et "La luxa". Il débute ensuite à la réalisation avec le long-métrage "Berlinguer ti voglio bene" basé sur le personnage interprété par R. Benigni. Sa collaboration avec ce dernier l'amène à diriger "Tuttobenigni" (1986) et à écrire les scénarios de "Tu mi tue, Non ci resta che plongera" et "Il piccolo ààvolo". Il a également dirigé plusieurs documentaires et films pour la télévision. Il reçoit le Prix Sergio Leone à Annecy en 1992.
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L'amore probabilmente (2001) |